Les PFS Focus

Une solution à chaque cohabitation

Une démarche focussée

A chaque espèce son PFS

Une mesure compensatoire

Une démarche « focussée »

Biodiversit’up ne distingue pas les animaux sauvages par le classement réalisé par l’humain. Les termes de « nuisibles », « chassables » ou « invasifs » ne sont donc pas (ou peu) utilisés. Chaque espèce animal a une utilité, il suffit de la démontrer, la gérer et cohabiter.

Johanna CHOPIN

Fondatrice de Biodiversit'up

La cohabitation avec les animaux sauvages peut parfois être complexe que ce soit par un dérangement lié à une multitude d’une même espèce à un même endroit, des aspects sanitaires ou des difficultés occasionnelles. Même si certaines espèces animales sont classées chassables, nuisibles et protégées, l’éthique de notre entreprise est simple : chaque être-vivant a droit de cohabiter harmonieusement avec l’espèce humaine, peu importe sont statut légal. En effet, il est important de noter que la législation française et européenne ne prend en compte que des aspects globaux, chaque territoire a ses particularités. Une espèce « mal-aimé » quelque part dérangera beaucoup plus qu’à un autre endroit. Une espèce présente par centaines en ville ne provoquera pas les mêmes désagréments que la même, au même nombre mais en campagne ou en milieu marin…

Depuis les années 80, la loi française a plus ou moins évolué en fonction des besoins et pressions sociétales. Voici un condensé des Arrêtés les plus « importants » encore effective de nos jours.Toutefois, c’est au niveau départemental que les catégories évoluent le plus ce qui nécessite une mise à jour constante de nos connaissances sur les aspects législatifs.

Que ce soit la prolifération des rats, les désagréments d’une blaireautière, la présence d’une fouine dans les poulaillers, la mise en place d’une corbeautière en plein centre-ville, la multitude des pigeons et de leur fiente ou encore la gestion des campagnols dans les champs, des goélands en bord de mer ou des ragondins au niveau des cours d’eau… Il existe des solutions naturelles où la prédation par les rapaces/mammifères peut être conjuguée à la prise en compte d’une compétition inter-espèces pour un même milieu avec, en parallèle, l’utilisation des nouvelles technologies. Grâce à cela, l’objectif est simple : assurer une gestion le plus naturelle possible et économique des espèces animales considérées comme « dérangeantes ».

Et si nous voyions la Terre comme un appartement d’étudiant et les êtres-vivants qui sont dessus comme des colocataires ? Nous arrivons à trouver des compromis entre humains alors pourquoi pas avec les animaux sauvages ? Pouvons-nous partager une partie de notre propriété privée ? Ici, nous pensons que oui !

Johanna CHOPIN

Fondatrice de Biodiversit'up

A chaque espèce son PFS

Comme précisé auparavant, la régulation naturelle par la prédation est un des meilleurs outils que la nature met à disposition des Hommes pour assurer une bonne cohabitation, il faut simplement accepter la présence de ces prédateurs tels que les rapaces, les renards ou encore le loup gris. Malgré tout, la gestion par l’humain n’est pas mise de côté via l’utilisation notamment des outils de stérilisations, d’effarouchement par fauconnerie ou encore par les nouvelles technologies (signaux lumineux ou ondes sonores). Dans d’autres cas, les problèmes de cohabitation sont uniquement liés à un partage difficile de la propriété notamment à cause des déjections laissés par la faune ou les risques de piqûres et d’allergies.

La chenille proc’

Une prédation naturelle ciblée

La chenille processionnaire est aujourd’hui traitée par système chimique, abattage des arbres ou brûlage des nids. Au-delà de l’aspect non-environnemental de certaines de ces pratiques, elles ne sont efficaces qu’à court terme et ne permettent pas une gestion à moyen et long terme. Grâce à la prédation naturelle, assurez une gestion régulatrice des chenilles via l’apposition de nichoirs à oiseaux insectivores dans des points stratégiques de votre environnement. La mésange charbonnière et bleue sont notamment vos meilleures alliées.

Les abeilles et guêpes

Des prédateurs régulateurs

Les abeilles, guêpes et autres individus volants peuvent engendrer un soucis de cohabitation lorsque leur présence est trop proche de l’humain ou quand elle est trop importante. Grâce à leurs prédateurs, nous pouvons les juguler et – pourquoi pas – les inciter à aller voir un peu plus loin si le coin peut également leur plaire. Bien sûr, nous pensons tout de suite à la bondrée apivore. Toutefois, ce bel oiseau très proche de la buse variable n’apprécie que peu la présence de l’Homme, une prise en compte de l’environnement large est donc nécessaire

Les chauves-souris

Une gestion du guano

La famille des chiroptères regroupe un grand nombre d’espèces plus communément appelées « chauves-souris ». Très discrètes, plusieurs apprécient la présence de l’Homme et notamment ses bâtiments. Derrière un volet lorsqu’elle est seule ou sous votre charpente lorsque la colonie s’est formée… Des endroits propices à leur développement. Mais alors, où est le problème ? Leur guano (déjections) se retrouve souvent au sol. Malgré son efficacité déjà prouvé pour déployer votre parterre de rosiers, cela peut gêner la cohabitation. Un simple système de réception de leur guano accolé à la mise en place d’un gîte d’accueil personnalité permet de gérer ce petit désagrément.

Les hirondelles de fenêtre

Un voisinage de fiente

Les hirondelles de fenêtre sont des oiseaux fascinants qui peuvent parcourir des milliers de kilomètres et revenir à l’endroit exact où se situe leur nid de l’année passée. Cas exceptionnel dans la loi française, les nids d’hirondelles (rustiques ou de fenêtre) sont protégés par la législation qui interdit leur démolissage. Toutefois, cette réglementation n’est que peu respectée notamment dû aux dérangements causés par cet oiseau. Connu pour ses importantes traces de fientes sur les fenêtres ou sur les sols, elles peuvent rapidement générer de la malveillance. Pourtant, de simples installations permettent de régler ce petit différent de voisinage.

Gestion des pigeons

Un effarouchement global

La présence – notamment en ville – du pigeon biset est une réalité qu’il faut gérer dans le quotidien des citoyens. Les outils utilisés actuellement ne prennent que peu en compte le bien-être animal puisque la finalité reste la mort des individus par tir, capture ou encore gazage. En conciliant des méthodes naturelles et plus douces liées à l’éducation des citoyens. C’est donc l’effarouchement par fauconnerie conjuguée à l’accueil des prédateurs naturels (rapaces) sur les espaces concernés et à une stérilisation que nous vous proposons pour cohabiter au mieux.

Les corneilles et corbeaux

Un déménagement nécessaire

La corneille noire et le corbeau freux vivent en communauté via la création de nombreux nids dans un espace parfois restreint. Ce condensé d’oiseaux peut déranger et inviter les collectivités à pratiquer le dénichage ou encore le tir. Toutefois, ces méthodes ne fonctionnent que peu puisque la colonie se reconstitue rapidement. En créant des partenariats avec les spécialistes de chaque espèce, nous proposons une prise en compte des aspects biologiques de ces animaux. Dans ce cas-ci, l’accueil d’autres espèces d’oiseaux (et rapaces) permet de déranger ces corvidés qui iront choisir un autre endroit pour nidifier.

Le ragondin

Une concurrence à recréer

Espèce importée par l’humain, le ragondin est prolifique au sein de nos milieux humides. Il provoque des dégâts qui amènent à sa gestion par capture puis mise à mort. Comme pour d’autres animaux classés « nuisibles » par l’humain, cette gestion semble ne pas fonctionner puisque la population reste toujours la même. C’est donc une concurrence directe du milieu par la loutre que nous vous proposons afin de créer un dérangement de cet animal. Bien sûr, ce simple aspect ne suffit pas c’est pourquoi une gestion différenciée de ses prédateurs naturel est également à mettre en place avec notamment l’accueil des espèces qui régulent les petits.

Le rat surmulot

Prédatons, prédatons

Le rat… Rien que ces trois lettres peuvent faire frémir un grand nombre de personnes. Mal-aimé, incompris et au final, très peu connu, le rat surmulot traine derrière-lui de nombreuses casseroles qui font de lui un indésirable et un nuisible. Dès qu’il y a de l’humain, il y a des rats puisque c’est lui qui va gérer nos déchets. Grand procréateur, il peut rapidement devenir envahissant voire incontrôlable. Pourtant, des solutions existent et elles permettent une cohabitation plus harmonieuse avec ce petit mammifère. C’est un rééquilibrage prédateur/proie que nous allons chercher en proposant à ses prédateurs naturels de revenir pour gérer sa population : la buse variable, le faucon pèlerin, la fouine, le hibou moyen-duc ou encore le renard et la vipère péliade.

Bien sûr, ces exemples sont à ajuster en fonction du territoire, du nombre d’individus ou encore des espèces déjà présentes. D’autres animaux sauvages peuvent engendrer des soucis de cohabitation avec l’humain. N’hésitez pas à contacter notre équipe pour un pré-audit personnalisé.

Une mesure compensatoire

Selon l’article L.122-1-III du Code de l’Environnement, des études d’impacts sont obligatoires lors de chantiers pouvant porter atteinte à un espace environnemental plus ou moins spécifique sur un territoire donné. De plus, dans le cadre de la séquence ERC du gouvernement français (pour Éviter, Réduire, Compenser), « la prise en compte de l’environnement doit être intégrée le plus tôt possible dans la conception d’un plan, programme ou d’un projet (que ce soit dans le choix du projet, de sa localisation, voire dans la réflexion sur son opportunité), afin qu’il soit le moins impactant possible pour l’environnement ». Grâce aux 3 étapes de notre PFS (Plan Faune Sauvage) et à sa gestion de projet de l’amont à l’aval, nous pouvons répondre à ces mesures compensatoire au niveau de la faune. Afin de se présenter comme « facilitateur de projet », notre équipe a également établi plusieurs partenariats afin de proposer une vision plus globale via une expertise flore ou encore entomologique.

L'IQE - Indicateur de Qualité Ecologique

L’OFB (Office Français de la Biodiversité), le CNRS (Centre National de Recherche Scientifique) et le MNHN (Museum d’Histoire Naturelle de Paris) participent à la valorisation de l’UMS PatriNat (Unité Mixte de Service Patrimoine Naturel).

L’UMS Patrinat a développé un Indice de Qualité Ecologique (IQE), basé sur un protocole semi-standardisé de diagnostic des enjeux naturalistes. Cet Indice, et sa variante, l’Indice de Potentialité Ecologique (IPE), permettent d’évaluer à l’échelle d’un site dans sa globalité, la biodiversité, la fonctionnalité écologique ,  et l’efficacité des mesures d’aménagements et de gestion écologiques, dans une optique de suivi temporel. Reposant sur une expertise de terrain, il doit être mis en œuvre par des naturalistes expérimentés. Ces indices ne peuvent pas se substituer aux études règlementaires.

En octobre 2021, Johanna CHOPIN a été formée a la nouvelle version (V2.0) de cet IQE. Biodiversit’up est donc abilité (seule structure dans le département 27-Eure et 4e pour toute la Normandie) a assurer son suivi lors de projets globaux pouvant avoir un impact environnemental.

N’importe quel projet humain que ce soit par une entreprise, un établissement scolaire, une collectivité ou même un particulier peut avoir un impact sur la vie sauvage et notamment sur la macro-faune… Pour chaque projet, le protocole « de base » reste identique au PFS (Plan Faune Sauvage). Étape 1 : en amont du projet pour déterminer les espèces présentes et leur lien avec le milieu naturel (zone refuge de nourrissage, de nichée ou de mise-bas, de simple passage…). Étape 2 : installations des nichoirs et gîtes sur le territoire ou en limite proche afin de permettre aux individus de rester sur leur territoire. Étape 3 : suivi et communication.

La création de nouveaux bâtiments

C’est un des impacts le plus important pour un milieu naturel : la mise en place d’une nouvelle résidence, école, zone industrielle… La nature des sols change, des arbres, arbustes, haies sont coupés, les corridors écologiques bloqués par des grillages et barrières… Conjugué au bruit des engins de chantiers, c’est un vrai dérangement pour la faune qui est créé et qui conduit à l’abandon du territoire par les individus présents.

Un nouveau chemin de randonnée

Il ne suffit pas d’avoir un projet d’artificialisation d’un milieu naturel pour assurer une bonne gestion compensatoire de son projet. En effet, des actions telles que la création d’un chemin de randonnée peut également avoir un impact non-négligeable sur la faune présente. Au-delà de certains déboisements nécessaires, la nature a ses règles qu’il faut prendre en compte avec notamment une compartimentation de certains milieux : zone de grattage des cervidés, zone de souille des mammifères, zone de couche de chevreuil, zone de nourrissage des oiseaux… En assurant un tracé qui prend en compte ces aspects, vous assurez une bonne cohabitation Homme/Animal.

Une nouvelle aire sportive ou de jeu

Moins artificialisée qu’une nouvelle zone de résidence mais davavantage impactante qu’un chemin de randonnée, ce genre de projet va également avoir un impact parfois non-négligeable sur la faune locale. Modification du milieu, apport supplémentaire d’une nouvelle pression humaine (davantage de monde, cris, discussion…), installation de nouvelles infrastructures… Encore une fois, de simples mesures compensatoires peuvent assurer la viabilité d’un tel projet où l’humain et l’animal sauvage cohabitent harmonieusement.

Et bien d'autres exemples

Bien sûr, chaque projet aura son propre impact, ses propres modalités et variables à prendre en compte. Notre équipe est présente pour répondre à vos besoins grâce à un pré-audit.

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06 86 52 00 71

(Johanna CHOPIN)

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